Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (123)

Hier c’était un client qui a refusé de me respecter et aujourd’hui je dois être dans une mauvaise passe car cet homme bien connu qui après m’avoir tutoyé prétend me baiser sans protection en latex.
Il va même jusqu’à me proposer le double pour que j’accepte avant de comprendre que son argent je m’en fiche, ma santé avant tout.
Par contre le paquet de billets qu’il me met en main pour que je reste et qu’il me baise avec capote me fait céder, je vais les mettre au chaud dans mon sac en profitant pour lui donner une couverture.
Toutes ces interruptions l’on fait débander alors je recommence le boulot et je le reprends en bouche.
Capuchonner il me fait mettre en levrette et j’apprécie la délicatesse avec laquelle il vient me lécher longuement de mon anus à mon clitoris, je suis à deux doigts de jouir lui montrant ma faiblesse mais il manque de clairvoyance et le temps qu’il soit opérationnel mon plaisir redescend d’un cran.
Il est en moi, j’apprécie les coups de sexe qu’il me donne étant attaché à mes hanches par ses deux mains fermes.
C’est à ce moment que son portable sonne et qu’il me libère.

• Excuse-moi, il faut que je réponde c’est la servitude de ma charge.

Il récupère son portable et part vers la salle de bain pour s’isoler.

• Oui Aurélien alors.

C’est la seule chose que j’entends car il pousse la porte qui dans un premier temps se ferme mais la clanche a du mal s’enclencher et s’ouvre de quelques centimètres assez pour que j’entende la conversation.
Je m’approche pour la refermer quand un nom m’interpelle.

• Tu as tout préparé pour enfumer Marie-Christine.

Un blanc quand ledit Aurélien parle.

• Ça c’est bon, dans 8 jours je prends sa place, je suis incontournable pour ce poste.

De nouveau un blanc.

• Fais attention à Annabelle son attaché, elle est vicieuse et plus dangereuse que Marie-Christine, j’ai essayé de la sauter mais j’ai l’impression qu’elle est vierge elle se défend comme une pucelle, dommage j’aurais aimé lui prendre son petit cul.


Je te laisse je suis en galante compagnie.

Encore un blanc plus court.

• Oui la pute que tu m’as recommandée, j’ai essayé de la baiser sans capote mais elle est susceptible, elle voulait se barrer.

Une seconde.

• Oui, j’ai allongé la sauce d’un paquet de billets qu’elle a acceptés, j’y retourne, elle va être obligée de me faire rebander, je vais finir par avoir du mal à y arriver et comme j’ai vu qu’elle m’a reconnue j’ai peur pour ma réputation de séducteur.
Ce serait facile si je pouvais les baisers mais tu sais aussi bien que moi que si nous en touchons une, on risque de se faire piéger et de se retrouver dans la presse à scandale.

Il y a un blanc.

• Oui, c’est pour cela que ces putes sont la meilleure méthode de se vider les couilles pour nous qui sommes célibataires.
Vivement que nous ayons le poste de l’autre gouine, la paye va me permettre de doubler le nombre que je vais rencontrer.
Tu as bien tiré sur du papier les photos compromettantes ou on voit clairement ses tatouages.

Je sens que la communication arrive à son terme, aussi souple comme une gazelle je rejoins le lit et j’attends nonchalamment allongée sur le flanc.
Il me rejoint et je dois recommencer à le sucer, il bande et me pénètre alors que je suis en levrette, il finit par remplir sa capote et se met à dormir.
Je me lève discrètement et je vais dans ma valise chercher un joujou qui va nous donner du plaisir.
Ma valise est à l’entrée et je la fais rouler sans bruit sur la moquette, je la mets sur la chaise qui se trouve fasse à la porte dans la salle de bain et je sors mon portable que je règle en mode vidéo.
Je le cale vers la chambre et surtout le lit avant de le démarrer, je récupère un gode ceinture noire et de taille normal.

De retour sur le lit je secoue le client.

• Revient à moi je suis loin d’en avoir fini avec toi, tu veux qu’on joue avec ce gode.

• Que veux-tu faire avec ce gode ceinture ?
• Je vais te le mettre dans l’anus.
• Tu es folle, moi me faire sodomiser, même pas dans tes rêves.
• Je sais qu’au fond d’eux même tous les hommes veulent savoir ce que l’on ressent quand nous les femmes vous nous enculez, aucun de mes clients n’a refusé et aucun n’est mort, vas-y met toi comme moi en levrette je vais te l’introduire.

Je prends le risque qu’il refuse mais j’ai déjà assez d’image me montrant avec lui et ce gode sur le lit prouvant qu’il se fait des putes, bonjours son image, certes cela va contre notre déontologie professionnelle mais j’ai une dette envers Marie-Christine et je lui dois bien cela.
Il se place semblant trouver le jeu sympa, je lui mouille sa rosette et je lui introduis le gode, juste un petit peu, personne n’ira voir la longueur qu’il est introduit dans son rectum.

• C’est bizarre mais c’est bon, pousse à fond.

Je le fais et j’en profite pour lui donner l’ordre de se prendre la queue en main et de se masturber.
J’en fais de même avec mon clitoris et nous nous retrouvons comme deux chiens collés quand la boule du mâle les bloque.

• Regardons-nous dans la glace, l’image doit te plaire ?
• Super, nous avons l’air de deux chiens collés, attends, je vais jouir, il va falloir que je m’achète un gode pour me l’introduire.

C’est à ce moment que je vois dans la glace que si son regard se porte sur la salle de bain on voit le portable qui filme et qui enregistre nos propos.

• Tu es mon petit toutou, aboie, c’est moi le mâle.
• Ouaf, ouaf, oui je suis ton petit clébard et je vais jouir.

Il jouit moi pas, je veux garder mon libre arbitre afin d’avoir la maîtrise mise sur notre soirée.

• Ou vas-tu ?
• Pisser.
• Non, attend je vais pisser au lit, laisse-moi la priorité et je vais ranger mon gode.
• Bien sûr je suis un galant homme, honneur aux dames.


Je me lève et je pose le gode dans ma valise, pour aller plus vite je la referme en laissant le portable tourner.
Je fais celle qui urine et j’ai bien fait car il entre dans la salle d’eau.

• C’est incroyable ce que tu m’as fait faire, me faire sodomiser par un gode et aimer autant ça je suis étonnée que cela ait été possible.
Encore une chance que cela reste entre nous car ma carrière qui va prendre de l’essor dans les jours prochains pourrait s’arrêter là, voilà pourquoi je vais avec des putes comme toi, vous avez de la déontologie.

Je me garde bien de le contredire, les images même perfectibles sont dans la boîte et vont sauver Démone et ses tatouages.

• As-tu encore envie ?
• Non, tu as été parfaite mais demain vas être une grosse journée et je vais rentrer me coucher, n’est crainte je garde ton numéro, si tu veux tu peux dormir ici, j’ai réglé la chambre.
• Part tranquille je connais très bien comment faire.
• Je pense que tu as des heures de vol pour avoir réussi ce que tu m’as fait faire, je te laisse.

Encore un mec plein de tact décidément c’est ma soirée, je me couche faisant semblant de dormir pour qu’il parte plus vite.
Dès que la porte est refermée, j’ouvre mon sac que j’ai posé sur la table de nuit, pour voir combien j’ai réussi à lui tirer en supplément quand j’ai voulu partir, 5 billets de 200, bonne soirée grâce à ses conneries de vouloir me baiser sans capote.
Je vais chercher mon portable dans la salle de bain, sur ma valise il y a encore 2 billets de 200 de gratification pour l’avoir enculé sur toute la ligne, je manque d’éclater de rire.
Je récupère mon portable et je vérifie les images, ces loin d’être parfait mais on le reconnaît très bien, par chance je suis du bon côté du gode et mon visage est impossible à dire si c’est moi.
Le portable a tourné la valise fermée et comme le client était très rapproché de la toile qui la compose, elle a laissé passer les sons, ce qu’il m’a dit est aussi enregistré mais l’image est noire.

Je fais le numéro que j’ai enregistré de Marie-Christine, j’ai le serveur, elle doit être sur repos avant de se réveiller pour partir au Canada.
Je lui envoie la vidéo avec un texte sur ce que j’ai entendue.
Je lui donne mon accord pour se servir des images même surtout qu’il est presque impossible à me reconnaître, je lui dois bien cela.

Je me lève m’habille et prends la route de l’appartement des filles que j’ai trop délaissée et je souhaite voir comment Aliou se comporte.
Je mets un bon moment à rentrer et quand j’arrive elles sont toutes encore debout, la fête bat son plein et Aliou à la queue dénudée.

• Tu viens me sauver, sort moi de leurs pattes d’ici demain elles vont me , de vraies mantes religieuses.
• Tu n’as encore rien vu Doudou, je vais te manger.

C’est Marie-Ange qui s’avance à quatre pattes vers lui en lui parlant comme une africaine sait le faire en prenant la grosse voix des gens de ces pays.
Nous éclatons de rire mais j’enlève mes affaires et moi aussi je m’approche à quatre pattes.

• On va te manger Doudou…

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